•  Comme d’habitude,Que les tiques meurent...
    le retour des beaux jours annonce l’arrivée de quelques nuisances. Jadis, on se réjouissait de l’arrivée des hirondelles, aujourd’hui on se plaint d’être envahis par les TIQUES. Sales bestioles porteuses de maladies, parfois très graves, que les autorités continuent à considérer comme mineures.
    Pourtant, l’ensemble
    des scientifiques s’accorde à reconnaître la naissance d’un vrai danger. Et pas seulement pour les animaux en général et les chiens en particulier. Malgré les cris d’alarme transmis par la presse, les communes continuent à ignorer la menace et laissent les herbes hautes pousser un peu partout, ignorant, les ignares, que les tiques trouvent dans cette végétation, un terrain favorable pour envahir l’homo sapiens qui se promène dans la nature. Une nature devenue donc hostile…
    Il faut désormais,
    chaque année, exhorter les services communaux à faucher régulièrement les parcs, les promenades, les sous-bois, en engageant un personnel temporaire équipé de roto-fileuses efficaces.

    La santé publique est en jeu! Les fonctionnaires
    concernés devraient remuer leurs méninges (ou ce qu'il en reste!)
    avant qu’il ne soit trop tard…

    La définition du jour:
    Beauté intérieure: Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.


     

     

     

     

     

     


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  •  Le «fils de…» dépasseFils à Papa...
    rarement son géniteur. Mais il y a des exceptions. Parmi celle-ci, un certain Matthew Bellamy, guitariste-pianiste-auteur-compositeur du groupe MUSE, certainement la meilleure bande de rockers du moment. Pourtant, le paternel de Matthew n’était pas un inconnu. C’était le guitariste d’un groupe british  mythique des années soixante: The Tornados. Dont la planète entière fredonna la célèbre rengaine appelée... TELSTAR. Une belle meule pour s'envoyer en l'air...
    Prénommé Georges,
    papa Bellamy (73 ans) devint rock star un peu par hasard, en côtoyant Alan Caddy, un autre guitariste, Roger Lavern, un pianiste-organiste, Heinz Burt, un bassiste et Clem Cattini, un batteur. Produit par le légendaire Joe Meek, le quintet produit plusieurs mélodies sans succès, jusqu’au 4 octobre 1962, où leur enregistrement de TELSTAR, composé par Meek  se vendit à 910 000 exemplaires en 4 semaines, avant de séduire plus de 4 millions d’acheteurs dans le monde entier…
    Tombé donc très jeune
    dans la marmite, le gamin génial Matthew Bellamy est donc né le 9 juin 1978 à Cambridge. Il a fondé MUSE quatorze ans plus tard, avec le bassiste Christopher Wolstenholme et le batteur Dominic Howard, et a évidemment dépassé de loin le succès des Tornados de son paternel puisqu’on peut dire actuellement que MUSE est certainement le groupe rock le plus connu sur la planète. Sans renier ses racines puisque le band offre à son public une reprise des Shadows au milieu de son show…
    MUSE donnera un unique concert 2015 en Suisse le 6 juin prochain à Bienne…

     La définition du jour:
    Sentiments partagés: Quand votre belle-mère est en train
    de reculer dans le ravin avec votre voiture toute neuve.


     

     


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  •  Dans la deuxième moitié
    du XXème siècle, les conscrits désireux de refuser le service militaire pour motifs de conscience avaient beaucoup de peine à convaincre. Il n’était donc pas rare qu’ils se retrouvent à l’école de recrue, arme en main, moral en berne et la tête en révolte.
    Avant cela,
    ils risquaient la prison et sous certaines dictatures, on les pendaient haut et court. Depuis lors, les Etats leur offre une porte de sortie idéale: le service civil. Comme les armées ont tendance à dégraisser, les civilistes sont de plus en plus nombreux. Et évitent le gris-vert avec de moins en moins de soucis de conscience.
    Cela dit, leur majorité
    est constituée avec des gens honnêtes, qui effectuent leur «service à la patrie» pendant de long mois, souvent avec un travail pénible, dans les EMS, les hôpitaux, les centres sociaux ou chez les pompiers.
    Mais il y a les autres!
    Ceux qui, par paresse, par peur de l’effort, par peur de la pluie ou de la neige, parce qu’ils sont incapables de se soumettre aux ordres, font des pieds et des mains pour se faire exempter. Pour éviter les casernes comme les hospices. Ces planqués, vous les croisez tous les jours dans les rues, dans votre immeuble ou même sur votre lieu de travail. Ils sont parfois discrets mais les plus cons n’hésitent pas à se vanter d’avoir couillonné… la Suisse.
    Offront-leurs une bonne pinte de mérpris

     La définition du jour:
    Le Gospel: C'est quand ton gamin a pris un coup de soleil.


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  •   Positif à la limiteLe patron dort-il ???
    de l’aveuglement, Greg Hanlon, le head coach de l’équipe helvétique de hockey sur glace semble être aussi d’une candeur qui risque de lui couter son poste! Pour le cas où la «Nati» continue à jouer aussi mal, il y a fort à parier que son passage au sein de la Ligue suisse (LSHG) sera de courte durée. Mais si son équipe hausse son niveau, devient une vraie bande de «killers» (comme ce fut le cas en 2013 à Stockholm), le Canadien sera un héros…
    Mais pour l’instant,
    on est inquiet. Et les joueurs aussi. Car contrairement à leur coach, ils ont tous compris que leurs errances pouvaient les conduire très… bas. Sorties de zone laborieuses, perte de duel dans leur camp, perte du puck en zone neutre, cafouillages et passes ratées dignes d’un match entre mal classés de série B, nonchalances diverses, manque de force aux engagements, régulièrement perdus… M. Hanlon n’a rien vu de tout cela!
    Ses seules remarques
    négatives concernent le jeu de puissance, d’une grande stérilité contre la France. Ouf, le bon Greg était tout de même réveillé au bord de la glace.
    C’est déjà çà…

     La définition du jour:
    GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin. 

     


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  •  

    Collectivement très pauvre,
    l’équipe suisse de hockey sur glace n’est pas une… équipe. Il s’agit de l’alignement d’excellents joueurs pratiquants le même sport dans un ordre désordonné. L’antithèse des mousquetaires: un pour tous… personne pour un!
    A Prague,
    la «Nati» possède encore des armes pour se reprendre et montrer un visage de «club» suisse convainquant. Mais il y a du boulot et c’est peut-être trop tard.
    Pour le pas avoir compris
    qu’une vraie équipe se forme au terme d’un long travail et non pas d’un bricolage d’école enfantine, le nouveau sélectionneur Greg Hanlon a donc (provisoirement?) manqué son entrée dans le giron helvétique.
    Avant de changer
    la moitié de l’équipe suisse, d’éliminer des gars qui avaient travaillé pour le séduire, le head coach aurait dû réfléchir et donner une chance à des joueurs capables de se sublimer. On pense à la paire défensive lausannoise Genazzi-Leeger, au Biennois Haas ou au Genevois Loeffel, révélations de la saison. Et pourquoi avoir écarté tout de suite le trio fribourgeois Bykov-Sprunger- B. Plüss? Ces joueurs étaient capables de jouer en équipe, eux…
    Bien sûr, la Suisse
    peut encore se transformer. Mais 24 heures pour donner une âme à une formation de hockey, c’est court…

     La définition du jour:
    Où est donc mon Ricard : Conjonction de coordination. 

     

     

     


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