•  Or donc,
    M. Christophe Darbellay, président du PDC suisse, l’un des plus remuant politicien de ce pays, l’affirme haut et fort: les Romands sont méprisés au nord du fleuve le plus large du monde : la Sarine. Cette certitude n’a rien d’un scoop. On l’avait constaté depuis des lustres. Aussi bien dans la pratique des sports qu’au travers de nombreux jours de service militaire. Les Romands sont des rigolos pas sérieux qui à l’instar de leurs ancêtres Celtes et Gaulois, ne pensent qu’à boire et à faire la fête!
    Cette nuit,
    le Vaudois Stan Wawrinka pourra-t-il venger cet injuste constat. En battant à New York le Bâlois Roger Federer. Une semaine avant que les deux, réunis, défendent l’honneur helvétique en Coupe Davis?
    Une pensée tout de même,
    un brin moqueuse, pour cette lutteuse bernoise sortie bonne dernière (40ème) des championnats du monde de Las Vegas. Elle s’appelle… Tokar.

    Cela ne s’invente pas…

     

     

     


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  •  Le fait divers a largement
    été étalé et commenté sur Face de Bouc et dans la presse. Faire payer deux francs à un client qui a consommé un plat sans prendre de boisson est une imbécilité, un non-sens commercial. Surtout lorsque le patron de la pizzeria «Chez Paolo» de Gland (VD) persiste et signe au micro de la radio romande (hier matin). On aurait encore compris (sans l’approuver) qu’il facture une carafe d’eau. Mais faire payer… pour rien!
    Y aura-t-il quelqu’un,
    dans la profession ou au sein des instances de surveillance concernées, voire des autorités, pour mettre un blâme à ce petit patron borné, stupide et sans envergure?
    Un seul moyen: le boycottage de cet établissement!

    PS: En ce qui me concerne, je ne vais heureusement à Gland pour manger des poissons du lac...

     

     

     


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  •  Il y a des débats télévisés
    grotesques, navrants et nauséabonds. Non, je ne vais pas revenir sur les propos agaçants du Sieur Yann Moix chez Ruquier. Cette «tête à claques» anti-suisse ne mérite pas le moindre intérêt public. Passons…
    En revanche,
    les mots incompréhensibles et les phrases boutonnées dans le dos entendus hier soir dans l’Infrarouge, programmé par le TV romande, à travers les radotages de Dame Suzette Sandoz et les circonvolutions verbales de maître Marc Bonnant, encore bronzé par ses vacances, furent d’une tristesse sidérale. Et d’un ennui profond, alors qu’il s’agissait, on l’aura compris, de savoir comment traiter, par le texte et surtout par l’image les sujets liés au drame syrien.
    En clair, ces deux personnages
    ont carrément dit que les métiers de journalistes et de photographes de presse étaient inutiles. Rien que çà. Il y a des paires de claques qui se perdent!

    Les stratèges de notre tévé seraient bien inspirés en rayant ce duo petit bourgeois, cul-de-poule et BCBG  des invités du futur.

     

     

     

     

     


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  •   La nuit suivant la pratiqueDormir sur le court...
    du rock et du roll, avec mon groupe Rockstalgy est souvent peuplée d’insomnie. Qu’il s’agisse d’un concert ou d’une simple répétition. La nuit dernière, je n’ai pas échappé à ce manque de roupillade. Heureusement, l’horaire des matches de l’US Open m’a permis de meubler le temps nocturne. Roger Federer jouait, vers trois heures du mat, contre le grand escogriffe américain John Isner.
    Le match n’était pas
    très spectaculaire car il s’agissait d’une énième bagarre de services boum-boum entre le maître bâlois et le géant yankee (2 m 08). Je me suis donc endormi devant la TV.
    Merci les gars.
    Avec vos services gagnants et vos aces, vous avez calmé et éteint mes angoisses de rocker de 70 ans, toujours étonné de jouer «Rocking all over the world», comme à 18  balais…

    J’irai faire une sieste supplémentaire cet après-midi!

     

     

     

     

     


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  • Avant que l’équipe suisse
    de foot aille guerroyer sus à l’Anglois (demain soir à Wembley), revenons sur l’incroyable fin de match de samedi dernier à Bâle, face aux rugueux montagnards slovènes.
    Sur le bord du Rhin,
    l’entraîneur des Helvètes n’a-t-il pas commis une sérieuse erreur de casting? Il devait savoir que Seferovic et Mehmedi sont des attaquants fébriles en situation de pression. En clair, ils manquent beaucoup d’occasions, que même ma grand-mère mettrait au fond des filets. Pourquoi n’avoir pas titularisé Embolo, Stocker et Drmic, qui flambent dans l’avant-garde respective de leurs clubs, au FC Bâle et en Allemagne? Ce trio d’attaquants aurait pu mettre rapidement les trois goals et rassurer tout le monde, «Petko» en premier…
    Sans pression,
    Severovic et Mehmedi auraient aussi pu terminer le travail en fin de match et la Suisse aurait gagné avec un score plus en rapport avec les forces en présence…

     Et cela sans jouer avec le cœur et les nerfs de milliers de spectateurs et téléspectateurs de ce pays…

     

     

     

     

     

     

     


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