• Ce week-end sportif devant la télé, même s’il n’a pas soulevé mon enthousiasme dans le domaine du ski alpin… a été exceptionnel dans celui du foot et du hockey sur glace. Voici pourquoi…

    Lors de la confrontation entre GE-Servette et le CP Berne, le défenseur genevois Henrik Tömmernes m’a fait bondir en inscrivant un but magique : le dos tourné au but, au milieu de trois Bernois et sans regarder, il a passé le puck entre ses jambes, pour le projeter dans la cage bernoise… Un régal.

    Quelques heures plus tard, à Paris: contre le LOSC (Lille) le PSG se dirige vers un match nul chanceux (3-3) lorsque, dans les arrêts de jeu, les Parisiens obtiennent un coup franc proche de la gauche des 16 mètres. Le génie sort alors de la lampe. Grâce au pied magique de Lionel Messi. L’Argentin brosse le ballon qui, à une vitesse du canon, contourne le mur lillois et pénètre dans le «soupirail» de la cage lilloise. Le Parc des Princes est en feu !

    Deux exploits à montrer dans les écoles…


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  • Sans doute stimulés par cette foutue fête des amoureux du 14 février, les pigeons qui envahissent nos balcons ont redoublé d’ardeur et sont venus me réveiller avec davantage de vigueur sonore. Ce matin. Comment lutter avec efficacité contre ces oiseaux têtus, obstinés et, disons-le clairement, un peu bobets ?

    Ma voisine de droite a opté pour l’installation d’un énorme filet qui ne dissuade que partiellement «Walter» Pidgeon et ses copines de fracasser nos oreilles avec ses roucoulements empressés. Ah… l’Amour ! La dame apprécie sans doute mollement la vue imprenable dont nous avons le plaisir de bénéficier sur une grande partie du lac Léman, de Thollon-les-Mémises au col du Mollendruz.. Quant à mon voisin de gauche… il ne parle que l’espagnol. Ce qui doit suffire à dissuader nos emmerdeurs à plumes !

    Donc aujourd’hui, seuls les fleuristes et les chocolatiers ont le sourire et nos pigeons roucoulent de plus belle. Selon les conseils du biologiste lausannois Gérard Cuendet, il suffit de ne pas nourrir et de chasser les indésirables volatiles. Cela fait dix ans que je m’applique à ce travail. Hélas mal récompensé. Ce qui me fait AUSSI passer pour un pigeon !…

    Et de me faire regretter le bon vieux temps du rock’n’roll et du «Flobert» de ma jeunesse…

    Pour mémoireWalter Pidgeon, acteur canado-américain, né le 23 septembre1897 à St John (Nouveau Brunswick), mort le 25 septembre 1984 à Santa Monica (Californie).


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  • Salut à Jean-Jacques... 

    Triste nouvelle ce 17 janvier 2023 : j’apprends le décès de mon pote Jean-Jacques Morattel, qui joua au sein de mon groupe ROCKSTALGY pendant 5 ans dans la décennie précédente (à g. sur la photo). Je le connaissais depuis les sixties, lorsqu’il tenait déjà le saxophone au sein des « Loups Blancs », band de rockers lausannoise ayant pas mal hanté les scènes de la région. Par la suite, il ne lâcha jamais les «yé-yés», en se produisant partout avec son groupe «Formule Sixties ».

    Il habitait à Echandens mais, après une répétition de Rockstalgy en décembre 2016, qui se termina dans un restaurant chinois des hauts de Lausanne, il nous annonça son déménagement à Fully (VS). Ce changement de canton provoqua des absences et Jean-Jacques décida, au lendemain d’un concert magistral au «Caf’Arts» de Prilly (été 2018), de jeter l’éponge…

    La semaine dernière, il m’avait demandé de lui envoyer le CD de «Lucifer» (avec Rockstalgy), paru en novembre. Il a reçu mon envoi, m’a remercié par texto, en me précisant qu’il allait être opéré le 13 janvier… Malheureusement, des complications ont provoqué son départ… Puisse-t-il rejoindre le Paradis des Musiciens.

    Avec mes condoléances à son fils Olivier.

    RIP JJ…


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  •  

    Le hockey sur glace va-t-il (re)devenir le cauchemar des Lausannois ? Avec cette foutue manie de faire l’ascenseur entre la première et la deuxième division (ex-LNA/LNB).

    L’année suivant son 100ème anniversaire, le club qui enflamma le quartier de Monchoisi (1938-1982) puis celui de Malley, va-t-il sombrer? Alors qu’il vient d’inaugurer un centre sportif digne d’une capitale olympique…

    Parce que le schéma de route des «Lions» ressemble furieusement à celui d’anciens printemps (61, 81, 96, 05) au cours desquels la relégation mortifia leurs fidèles supporters. Ceux de la «Section Ouest» en particulier !

    A titre d’exemple, on se souviendra de la saison 95/96, où on vira bêtement l’entraîneur (Jean Lussier) pour engager un improbable américain qui fut incapable de redonner vie à l’équipe…

    Il reste heureusement un peu de temps pour manœuvrer le navire avant qu’il ne heurte l’iceberg…

    SOS…


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  • Salut les rockers…

    J’ai été littéralement fasciné par les 34 minutes du concert de Monkey3, que j’ai «pêché» par hasard sur facebook. Fasciné et conquis: vous êtes les dignes héritiers des «pionniers» du rock instrumental que furent les Shadows en Angleterre, les Ventures aux States et les Spotnicks en Suède. Mais aussi de rockers lausannois, les Aiglons, qui réalisèrent en 1963 (un peu sans le vouloir !) un tube instru intitulè «STALACTITE», une rengaine sortie et arrangée en pensant déjà à une forme d’ode à la nature. Le groupe, produit à Paris et dans une vingtaine de pays (25ème au cashbox américain !) était formé par Jean-Marc Blanc (orgue électronique), Léon Francioli (guitare solo), Laurent Florian (guitare rythmique), Antoine Ottino (basse) et le soussigné (batterie et percu.).

    Personnellement, j’ai a connu les débuts de votre groupe car j’étais un ami proche du père de Christophe Picasso et un confrère (et partenaire de tennis !) du père de Boris DePiante (24 Heures)…

    J’ai tout de suite eu beaucoup d’empathie pour Monkey3 car il perpétue une tradition que j’aurais voulu plus énergique du rock instrumental. Vous y êtes semble-t-il parvenu puisque votre travail, que je suis capable d’apprécier en connaisseur, vous conduit bien au-delà des frontières de Lausanne, de la Suisse et même davantage.

    Encore bravo pour votre spectacle. Que je ne manquerai pas s’il ne passe pas trop loin d’une scène où mes jambes de 78 ans pourrons encore me conduire…

    Keep and rocking et amicalmement…

    Christian Schlatter


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