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    La pratique des ordinateurs, en amateur, provoque des énervements. Parfois

     

    quelques ulcères pu crise de nerfs. Combien de fois ai-je eu envie, depuis les années 80, de jeter cette

     

    saloperie de machine par la fenêtre? Je connais même un confrère, suivant un match de hockey sur

     

    glace à Olten (SO), qui balança son outil rébarbatif sur la patinoire, avant de téléphoner son «papier»

     

    à la rédaction. Comme au bon vieux temps...

     

     

    Aujourd'hui, on doit en plus se méfier de cette technologie sournoise. Des crétins nommés

     

    «hackers» (parfois professionnels) s'amusent à semer le trouble sur cette toile de plus en plus

     

    constellée de taches, cradingue.

     

     

    La piraterie des temps modernes semble s'amplifier au fil des mois. Et faudrait que chaque

     

    utilisateur d'un ordi fasse des études poussées de programmateur, pour être en mesure de contrer les

     

    «boulets» lancés par ces flibustiers de carnaval. Comme dirait Archibald Haddock. Une seule

     

    solution: renoncer, sauf par obligation professionnelle, à manipuler plus longtemps ces claviers de

     

    l'enfer.

     

     

    J'y songe...

     


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    Dans un quartier lausannois, les hommes ont tenté de chasser les nombreuses corneilles,

     

    dont les nids garnissaient plusieurs arbres à proximité des immeubles. Les volatiles malins sont toutefois

     

    revenus. En plus grand nombre mais avec, semble-t-il, davantage de discrétion. Pas de doute: les animaux

     

    sauvages savent s'adapter avec une grande intelligence.

     

    Ce constat, j'avais eu l'occasion de le faire il y a quelques années, en découvrant l'installation d'une

     

    renarde et de ses trois petits à dix mètres de mon immeuble dans le Lavaux. Discret, l'animal était

     

    resté une ou deux semaines à cet endroit. Lorsqu'elle constata que plusieurs personnes avaient fait

     

    des photos de sa progéniture, devant le terrier qu'elle avait aménagé dans une ancienne conduite

     

    d'eau de pluie, maman renard embarqua ses «lardons» et disparut...

     

    Les animaux sauvages, loups, lynx, ours et tous les oiseaux de la création, savent très bien s'adapter,

     

    malgré les pièges et les autoroutes, à la vie humaine.

     

     

    «Normal, dirait mon pote Guinchard... ils étaient là avant nous!»

     

     

     

     

     


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     C'est un souvenir vieux d'un demi-siècle, mais encore très présent à mon esprit: les cours d'allemand étaient un vrai calvaire au collège de Béthusy (Lausanne). La faute à certains professeurs un brin lamentables, peu intéressants et souvent trop jeunes ou trop stressés par quelques élèves chahuteurs.

     

    Cela dit, nous étions en phase «secondaire» et je ne me souviens pas qu'il fut question d'aborder la langue de Goethe à l'école dite primaire. De la 1ère à la quatrième année, personne ne songeait à nous apprendre l'allemand. Que nous appelions, vieux reste de la guerre que nos parents avait subie, le «boche».

     

    Depuis lors, de l'eau à coulé sous les ponts et la barrière de röstis n'a plus la même largeur (celle de la Sarine). Mais les suisses romands ont toujours autant de peine à assimiler les complications du verbiage germanique. Alors que nos concitoyens alémaniques parlent plus souvent le français que nous...

     

    Les exemples que j'ai vécus, en tant qu'officier dans l'armée suisse et comme journaliste de sport, le démontrent clairement. En Suisse allemande, on me répond presque toujours en français. A Lausanne, Sion ou Genève, le contraire n'existe pas pour les touristes zurichois ou venus d'Appenzell.

     

    La question de savoir si les Thurgoviens ont des raisons d'attendre l'école secondaire pour enseigner le français sans provoquer la colère romande est donc résolue.

     

    Demandez aux citoyens de Londres ou du sud de l'Angleterre pourquoi ils ne répondent jamais à un Ecossais. Pourquoi un Wallon a de la peine à parler à un Flamand...

     

     

     

     

     


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    Publié par les médias du 29 mars dernier: L'AVS est à la peine en 2015.
    Deux lignes plus bas: Les caisses de retraites font un mauvais premier trimestre 2016.
    Deux pages plus loin: Le directeur (CEO) du Crédit Suisse reçoit 4, 57 millions de francs de salaire pour 2015.

     

    oopsY-a-t-il besoin de développer un commentaire d'économiste diplômé pour expliquer l'absurdité de la situation des hommes (et des femmes) sur cette planète?

     

     

     

     


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     Au moment de l'ouverture du Musée Charlie Chaplin à Corsier/Vevey, la découverte de la grande famille engendrée par l'artiste confirme toute la valeur culturelle de cette dynastie. Après la révélation, dans les années soixante de Géraldine (44), premier enfant du couple que Charlie forma avec Oona, on avait un peu perdu de vue les autres descendants de cette dynastie, souvent à la recherche d'une discrétion légitime. Il m'est arrivé parfois de croiser, dans les établissements publics de Vevey ou Lausanne, Michael (46), Joséphine (49), Victoria (51), Eugène (53), Jane (57), Annette (59) ou Christopher (62). On murmurait alors en catimini: C'est un enfant de Charlot...». Et l'affaire s'arrêtait là...

     

    La véritable découverte d'un «Charlot II» a pourtant éclaté récemment, avec  James Thierrée, né en 1974 et fils de Victoria. L'homme a pourtant déjà une grosse carte de visite artistique et ressemble à son génial grand-père comme deux gouttes d'eau.
    Le grand public l'a découvert dans le film «Chocolat», dont il partage la vedette avec Omar Sy. James n'aime pas qu'on parle de «Charlot» en sa présence, et pourtant... dans le film de Roschdy Zem, il en fait pas mal pour rappeler le petit personnage au chapeau melon.
    Et puis il faut savoir que James Thierrée, qui est aussi musicien, mime et acrobate, a déjà reçu de multiples hommages depuis ses débuts au cinéma en 1991. Il est Chevalier de la Légion d'Honneur (2014), a reçu un Molière en 2006 et a été nominé aux Césars en 2007.

     

    Rien que çà...

     

     

     


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