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    Chaque citoyen suisse connaît (ou devrait connaître) le système mis en place pour mobiliser l'armée. Il y a la Mob partielle et la Mob G. La mobilisation générale. Grâce à nos stratèges de l'Etat-Major, il y a désormais une possibilité de mettre sur pied une grosse poignée de miliciens, généralement proches de partir en cours de répétition, pour soutenir les gardes-frontières, la police et la PC. Grâce (ou à cause) de l'actualité dramatique. Sans que le Conseil Fédéral ne soit obligé de nommer un général.

     

    Un flot de réfugiés va-t-il se présenter à nos frontières? La Suisse ne semble pas vraiment à l'abri d'un afflux massif de gens désireux de s'installer provisoirement sur son sol. Le «Peuple des Bergers» a donc prévu cette actualité. Ce n'est pas le première fois, mais cela engendre une réflexion à laquelle nos chefs de l'armée du XXIème siècle ont semble-t-il bien réagi.

     

    C'est ainsi que quelques troufions (officiers, sous-officiers et soldats) vont être obligés d'oublier chars et canons, afin de modifier le programme de leur cours de répèt', voire de pratiquer une tapée de jours en plus, pour servir leur patrie...

     

    Qui, pourquoi, où, comment? Ne comptez pas sur moi pour vous le révéler ici...

     

     

     


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    Pourquoi les drapeaux flottent-ils aujourd'hui au sommet des édifices du canton de Vaud?

    Dans l’histoire du peuple vaudois, après le 24 janvier 1798 qui marque la déclaration d’indépendance vis-à-vis de Berne, la date du 14 avril 1803 constitue elle aussi un évènement important.

    C’est en effet ce jour là que le Canton de Vaud fait son entrée officielle dans la Confédération suisse et que le Grand Conseil siège pour la première fois. Il faut noter qu’à l’époque le suffrage est encore censitaire, le suffrage universel ne s’imposant que progressivement au 19e et 20e siècle. L’exécutif cantonal sera quant à lui élu le 18 avril 1803 par ce même Parlement et prendra la forme d’un Petit Conseil composé de neuf membres.   


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    A quoi sert le président du LHC Patrick de Preux? Dans une interview, on lui demande à combien il estime le manque à gagner du club, bouté de la participation aux playoffs de LNA. Réponse: «Aucune idée!». On insiste en lui demandant si les joueurs ont perdu des primes. Réponse: «Aucune idée». On lui demande si l'entraîneur Ehlers reste aux commandes. Réponse: «Il a un contrat jusqu'en 2017!». En même temps, on apprend que le stratège danois est viré...

     

    Ignorant des choses financières et sportives, M. de Preux a-t-il encore des tâches à remplir dans les coulisses du club? Riche avocat lausannois, il possède un bi-moteur à la Blécherette. On imagine donc qu'il doit brasser de grosses affaires avec de gros clients. Cela dit, on ne connaît rien de sa contribution au bien-être de la caisse du LHC. Ne sert-il, en fin de compte, qu'à faire de grandes phrases, devant les reporters sportifs béats d'admiration? Ce qui expliquerait le départ (précipité), la saison d'avant, du dernier chef de presse des «Rouge et Blanc»...

     

    Toujours est-il que les «Lions» sont désormais sans dompteur. Et le LHC va payer M. Ehlers, dont le contrat avait été prolongé il y a huit mois (sic), pour ne rien faire pendant un an! Le président était-il au courant?

     

    Aucune idée...

     


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    Les commentaires au sujet des nouveautés automobiles me feront toujours rigoler. Il y a d'abord les journalistes s'extasiant sur le dernier modèle de Porsche ou Ferrari dans les journaux populaires dont les lecteurs ne pourront jamais se payer. Même une roue!. Et il y a les menteurs arrogants, dont les propos trichent avec les chiffres.

     

    Exemple: l'animateur de l'émission «Auto-Moto» sur une chaîne française. En faisant le test et la réclame pour les nouvelles «Jeep», dont le prix est exorbitant, le bougre a osé affirmer: «Le dernier modèle? Tout le monde se l'arrache!»... Tout le monde? On est aux Etats-Unis, pays comptant actuellement 320 millions d'habitants dont le 5 à 7% sont chômeurs, selon les Etats. Ce qui fait tout de même une grosse vingtaine de millions de gens dans l'impossibilité totale d'acquérir la nouvelle Jeep. Et encore moins de l'entretenir.

     

    Il paraît que ce genre de commentaires permet de faire rêver. Quel cauchemar!

     

    Charogne de pauvres...

     

     

     


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    Les absents ont eu tort. Une brusque chute de neige non planifiée les a-t-elle retenus en plaine?

    Vendredi dernier, ROCKSTALGY, en pleine forme, a bravé les frimas pour offrir à la station

    de Vercorin (VS) un concert musclé à base de vieux souvenirs sonores des sixties mais aussi de

    belles rengaines ayant glorifié le rock and roll des années septante (soixante-dix comme

    s'obstinent à les appeler nos amis de France!). Rolling Stones, ZZ Top, Status Quo, Creedence,

    Bashung, Renaud, le répertoire du groupe créé en 1985 par deux anciens «Aiglons» est comme

    celui des Londoniens: il dure!

     

    A l'orée des années 60, les connaisseurs du show-business parisien hurlaient: «Le rock durera

    six mois et sera oublié!! » Un demi-siècle plus tard, il est toujours vivant., ROCKSTALGY le

    pratique avec quelques grincements musculaires des courbatures assurées car la moyenne

    d'âge des musiciens côtoye celui des rentiers AVS.

     

    Mais cette quête obstinée de refaire les rengaines de leur jeunesse, si pathétique qu'elle soit, est

    un vrai plaisir. Sauf au moment de plier la tonne de matériel. ROCKSTALGY n'a pas les

    moyens de payer des «roadies». Dommage...

     

    Et merci à la cinquantaine de courageuses et de courageux qui sont montés dans la station

    anniviarde (berceau du célèbre génépi) et qui ont chanté avec nous «Start me up» «Whatever you want»

    et «Rollover Beethoven »...

     

    «Whatever you want,

     

    Whatever you like,

     

    Whatever you say... »

     

     

     


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