• Le film "La Passion de Godin..." est à voir de préférence APRES un repas. Sinon c'est un calvaire...
    Bien aimé Sieur Magimel et Dame Binoche, surtout quand il confectionnent un vol-au-vent géant, un turbo poché et le triomphal carré de veau au four. Grandiose...
    Au bout du film, il devrait y avoir le mot
    FAIM
     

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  • Il n’a pas fallu plus de 50 secondes pour que Patrice Morisod, consultant de la RTS pour le ski alpin, nous assène sa première bourde de la saison ! On lui pardonne… car ils sont nombreux, les journalistes en général et de sport en particulier, à tomber dans le piège.

    Non, M. Morisod, 30 années ne constituent pas un «jubilé», comme vous l’avez affirmé en présentant la première course de la saison. Sur le glacier de Sôlden, l’ambiance réfrigérée de l’environnement autrichien sans doute..

    Il faut atteindre les 50 ans pour prétendre à être jubilaire. Cinquante et ses multiples : cent, cent cinquante, deux cents, etc…

    Bonne saison sur les lattes…

     


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  • A Lausanne, du côté des "Plaines du Loup" un certain Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, vint reposer ses troupes, dans la froidure du lieu, n'écoutant pas capitaines et lieutenants, un peu moins cons, qui lui conseillèrent sans doute de descendre au bord du lac. Là où la bise souffle moins fort.

    C'était au printemps 1476 . Le duc faisait la gueule et n'écoutait personne, au lendemain de la pâtée que lui avaient filé les "Suisses" à Grandson, pour corriger l'insolent bourguignon. Sa seigneurie ne se remit jamais de cet affront et prépara fort mal la suite de son combat contre les Confédérés. A Morat, quelques semaines plus tard, les mêmes "Helvètes" lui mirent une seconde brossée, encore plus spectaculaire et Charles s'enfuit vers Nancy où, pendant l'hiver suivant, il trouva la mort...

    567 ans plus tard... un évènement rare a eu lieu au même endroit: le premier affrontement de l'Histoire entre le Lausanne-Sport, club de football renommé et le FC Stade-Lausanne-Ouchy, formation dont le terrain se situe normalement au sud de la ville (Vidy), mais que les circonstances oblige à jouer le championnat suisse (1ère division) à la Pontaise. Les derbys entre les deux équipes lausannoises se disputent donc aux "Plaines du Loup" puisque le LS a déménagé récemment de la Pontaise à la Tuilière. A une distance de 1122 mètres. Vous suivez?

    En cet automne 2023, le "petit" club a évidemment bousculé le "grand" qui pratique un foot brouillon, imprécis, à qui il manque la moindre flamme... En clair, le Lausanne-Sport est comme le duc de Bourgogne: il a le moral dans les chaussettes...

     


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     Il y a quelques années, les 4 ou 500 fidèles supporters du FC Stade-Lausanne-Ouchy appréciaient les performances de leur club de quartier sur la pelouse du stade de Vidy.

    L’équipe était alors dirigée par le légendaire Richard Dürr. L’ex-numéro 10 du Lausanne-Sports (et de l’équipe suisse !) mettait un soin particulier à gérer ses boys, en 2ème et en 1ère ligue. Cela se passait généralement le dimanche après-midi et, surtout avec une bonne météo, le «Stade» était un but de promenade adoré des Lausannois même lorsqu’ils n’étaient pas forcément des aficionados du ballon rond…

    Sans doute installé au paradis, le bon Richard a dû se retourner sur son nuage en découvrant «son» SL évoluant au sein de l’élite du football suisse, dans cette 1ère division que l’on appelait LNA, avant que les stratèges de l’ASF ne la transforment en Super League. On imagine que le bon roi Richard soit tombé de son fauteuil lorsque l’équipe lausannoise, dimanche dernier, a battu le FC Bâle, dans son stade Saint-Jacques par trois à zéro ! Non mais…

    Ironie du sort, le «King» doit aussi bien rigoler en constatant que son équipe chérie évolue à domicile (en attendant mieux !) dans la bonne vieille Pontaise. Là-même où il réalisa les exploits des non-moins légendaires «Seigneurs de la Nuit» (Tacchella, Hertig, Hunziker, Hosp et Cie)…

    L’Histoire du football romand
    révèle parfois d’étonnantes destinées…

     


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    Dans les années 50 mon paternel, en fin épicurien, apportait régulièrement de la « Tête de moine » sur la table familiale. Un vrai rituel s’installait. Comme la «girolle» n’existait pas encore, Papa Schlatter se dévouait pour couper des fines tranches, avec un couteau bien aiguisé. Il les distribuait ensuite à la famille ou aux invités. Tout le monde appréciait…
    Et puis arriva la « girolle », Assez difficile à parquer dans une armoire une fois démonté, l’engin ne m’a pas convaincu. Certes… on peut mieux présenter ce succulent fromage jurassien en le présentant aux invités sous forme d’œillets très décoratifs. Bien entendu, les industriels malins sont dépêchés de faire le boulot à votre place, par le truchement des commerçants, grandes surfaces comprises.
    Que choisir ? La convivialité, façon fondue ou raclette, ou la facilité dans le cabas des courses ?
    Personnellement…  je fait ma «tête de mule», en pensant chaque fois à mon géniteur.


    Et vous ?


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