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    Le débat fait rage: comment écraser les actions maléfiques et meurtrières de Daech (Etat islamique) ? Quelques fins stratèges inspirent les commentaires de ceux qui n’y comprennent rien, de ceux qui ont un avis sur tout et des connaissances sur pas grand-chose!

     Il est évident que la solution des frappes aériennes, sur les dépôts d’armes et de munitions ou les centres d’entraînement des djihadistes, n’a des effets qu’à long terme. Mais dire qu’elles ne servent à rien est exagéré. Parachuter des centaines de milliers de soldats dans un désert grand comme la France est aussi exagéré. Et toute forme d’exagération engendre le mépris…

    Une des principales priorités est donc d’empêcher les alliés de l’Etat islamique (?) de fournir une logistique efficace. Il faut interdire le passage aux frontières de carburants et évidemment d’armes de tous calibres. Il faut interdire l’accès aérien aux zones conquises par Daech. Il faut protéger les sites archéologiques. En bref, il faut étouffer ces fous furieux dans un périmètre où ils ne doivent plus se sentir en sécurité. Pris au piège, la population terrorisée, provisoirement affamée, saura sans doute se débarrasser des militaires enturbannés.

    Pour cela, l’action concertée des Nations est indispensable. Mais en sont-elles capables?

     

     

     

     

     

     

     


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    Parmi mes lectures du moment
    figure le premier roman écrit par Joël Dicker, «Les derniers jours de nos pères», publié en 2010, donc deux ans avant l’immense succès de «La vérité sur l’Affaire Harry Quebert». L’histoire se déroule pendant la 2
    ème Guerre mondiale et retrace avec talent le travail des agents du SOE, le service secret britannique dans lequel de nombreux jeunes Français s’engagèrent pour mener des activités d’espionnage dans l’Europe nazifiée. C’est passionnant!

    Mais cela montre avec précision la difficulté de mettre en place l’organisation, la formation et l’action des volontaires infiltrés un peu partout, en France notamment, mais aussi en Espagne, en Allemagne et même dans une Suisse bien repliée derrière sa neutralité.

     Cette guerre dans l’ombre est très proche de celle menée actuellement par l’état islamiste que tout le monde appelle désormais «daech», et qui se promet d’empoisonner l’existence de toute l’Humanité. De vous, de moi, de votre voisin. Avec une tragique réussite réalisée à Paris.

    Les héros qui parvinrent à patiemment débarrasser l’Europe de la pourriture nazie font, encore de nos jours, l’admiration de tous. Mais laisse imaginer l’étendue du boulot que les Etats devront consentir pour faire taire la barbarie des islamistes intégristes. Si bien organisés et déterminés…

     

     

     


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    Or donc…La droit de râler...
    Selon un ancien «pote» et musicien, je serais en train de devenir un vieux ronchon!? Né avec une cuillère en or dans la bouche, entre la cinquantaine, plutôt boleux dans la vie sans être très futé, le bougre se hasarde dans un jugement qui m’agace. Et me fait sourire…

    Un journaliste, c’est quoi?
    Avant tout un relais entre le public et les vedettes de la vie (sportifs, politicards, artistes, patrons, chefs, etc…). Mais le fait de côtoyer le gratin donne parfois un sentiment de tout comprendre mieux que les autres.
    Sur ce chemin caillouteux,
     il y a parfois de quoi devenir un brin rouspéteur. Je revendique donc, du haut de quelques années d’expériences, parfois décevantes, souvent enrichissantes, le droit d’ouvrir ma gueule. Et de laisser le temps, pour ceux qui croient encore que tout va pour le mieux dans les cantons suisses, se mettre un peu de plomb dans la tête. Hélas, le comme le disait si bien Brassens: «Le temps ne fait rien à l'affaire. Quand on est con…»

     

     

     

     

     


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  •  L’argent dépensé par une fédération sportive pour exposer une équipe nationale bidon ne pourrait-il pas être placé ailleurs? La récente déroute des hockeyeurs helvétiques à la Deutschland Cup, avec une équipe privée du 80 % de ses titulaires crédibles, peut servir à ouvrir le débat. Les deux matches amicaux que les footballeurs suisses vont disputer en Slovénie et en Autriche (demain à Trvana et mardi à Vienne) renforcent encore ce sentiment d’inutilité.
    Une chose est certaine: les sportifs concernés, même s’ils sont heureux de leur sélection dans l’équipe de Suisse, souffrent d’un abus de compétition dont les conséquences peuvent être négatives. Pourquoi donc exposer les formations à croix blanche à des déceptions coûteuses et dont personne ne se souvient la semaine suivante?
    Pour ne rien arranger,
    l’équipe suisse de hockey est dirigée par des coaches ad intérim, alors que des doutes subsistent toujours sur la valeur de l’entraîneur des footballeurs. Tout cela n’a rien de rassurant…

     

     

     

     

     


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  •  C’était à prévoir!
    Spécialiste des ratages en matière de construction publique, la ville de Lausanne (VD/Suisse) a mal évalué le projet de nouvelle patinoire à Malley. Pour mémoire, rappelons que la Pontaise n’a jamais été un stade aux normes olympiques (1953), que sa construction a été bâclée. Rappelons aussi plusieurs mauvaises réalisations dans le domaine public: tunnel sous la gare CFF, tunnel de Chauderon, structure inadéquate lors du passage de la patinoire de Montchoisi à celle de Malley (toit).

    Les Lausannois viennent
    donc d’apprendre que l’édification d’une nouvelle patinoire à Malley passera par du… provisoire. Pour deux ans. On ne sait pas encore ni où ni comment! On a fait croire que les travaux permettraient de maintenir une partie du Malley actuel mais c’était une erreur!

    Un retour à Montchoisi,
    ses tubulaires et son toit provisoire (comme en 1978), un vélodrome (Pontaise) replâtré, la patinoire de Morges, d’Yverdon ou celle du Flon? Un concours d’idées doit être lancé et il doit y avoir quelques tempêtes sous les crânes étroits du service des sports de la ville lausannoise. Pendant ce temps-là, le nouveau conseiller aux Etats Olivier Français, municipal des travaux, ira pour quatre ans faire de la figuration à Berne.

    frown Une chose reste certaine: le ridicule continue à planer sur la capitale vaudoise…

     

     

     

     

     

     

     


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