•  La semaine dernière,
    la TV romande offrait un reportage consacré à l’entrée au musée des produits FREITAG. Normal… c’était un vendredi! Rappel: ces sacs à la mode sont confectionnés avec le recyclage d’anciennes bâches de camions et de poids lourds.
    C’est assez hideux
    mais c’est vendu très cher dans toute la Suisse et sans doute au-delà des frontières.
    La mode, ce mot magique
    qui a conçu les fortunes de petits malins audacieux, a une fois encore frappé! On croise donc un peu partout des personnes avec un FREITAG autour du cou. Mais rassurez-vous, il est peu probable de rencontrer un client de FREITAG lors d’un concert à l’opéra.
    Ce vilain assemblage,
    grossièrement cousu, malgré son prix prohibitif, se porte pour aller au concert de musique pour jeunes, donc à Paléo, aux Francofolies et autres places fortes du hard rock et du roll…
    Après Robinson Crusoë, Freitag a réinventé Vendredi avec un produit sauvage…

     Un sujet idéal pour un lundi, non?

     

     

     


    votre commentaire
  •   
    retrouver la définition des sigles ci-dessous, qui embarrasse notre vie depuis des décennies…

     DETEC, FFF, DFF, COOP, DDPS, OM, CFF, SBB, FIS, DFAE, OFIAMT, LPP, DFJP, UMP, DEFR DFI, LHC, FIFA, LS, CEE, EIAP, RER, ORTF, GSHC, UNESCO, CGN, UDC, PDB, PS, PDC, BCV, AVS, RMI, CF, OL, ABB, CE, FSJS, PPDA, OGCN, FLIC, AVPS, LSHG, UEFA, USD, OCDE, PLR, ECAL, LEM, TPG, PSG, TL, UNIL, CAC, ETC, ETC, ETC…

    happy La vérité de la semaine…

    «Dans le monde actuel, on utilise cinq fois plus de moyens pour la recherche sur les médicaments favorisant la virilité masculine que sur le silicone pour les femmes. Résultat: dans quelques années, nous n’aurons que des femmes avec de gros seins et des mecs avec d’énormes braquemarts. Mais aucun des deux ne se souviendra à quoi çà sert!...
    (Drauzio Varella, prix Nobel de médecine)

     

     

     


    votre commentaire
  •  En visionnant des reportages
    filmés sur des sujets bientôt centenaires, je suis toujours effaré par les mouvements de foules des cités, en Europe comme en Amérique du nord. On constate en effet que le 99 % des hommes portent un chapeau. Les femmes sont restées à la maison et il y a quelques rares têtes nues…
    Aujourd’hui, dans nos manifs, on remarque quelques casquettes à la mode américaine, à l’endroit ou à l’envers, de rares chapeaux texans, ou bonnets lapons, mais c’est la majorité «têtes nues», avec ou sans cheveux, qui fixe la mode du IIIème millénaire.

    Reste à se poser
    cette question un brin farfelue: l’industrie pharmaceutique est-elle complice de cette absence de couvre-chefs? Car l’augmentation des rhumes et des rhumes de cerveaux va permettre aux officines apothicaires de faire de belles affaires.

    En résumé: couvrez-vous…

     

     

     


    votre commentaire
  •  Essayé, pas pu.Langage de sportifs...
    Le club de hockey de Montréal n’est pas parvenu à remporter son dixième match consécutif de ce début de saison. Ce qui l’aurait placé dans un trio historique de clubs ayant réussi cet incroyable challenge. Cela dit, la forme des Québecois semble leur promettre une belle saison: ils dominent actuellement la totalité de la NHL.
    A propos de cette franchise,
    qui a, rappelons-le, remporté 24 Coupe Stanley depuis une centaine d’années, record quasiment imbattable à vision de vie humaine, il est bon de répéter le principe suivant, que mes ex-collègues journalistes de sports en général et de hockey particulier s’obstinent à piétiner: on ne dit «les Canadiens de Montréal» mais LE CANADIEN DE MONTREAL.

     Pendant que j’y suis,
    il est aussi bon de remâcher quelques autres principes d’écriture en matière de sport:
    tongue Le terme «prestation» devrait être banni du langage sportif, au profit de «performance». Prestation n’est utilisée que dans le domaine des assurances ou de promesses liées à des serments.
    winktongue Le mot «locaux» ne s’applique que pour désigner une chambre, un local ou une cuisine. On pourra cependant utiliser sans être ridicule le terme «équipe locale».
    sarcastic
    Quand à la «prestation des locaux», qui continue à faire rire les honnêtes francophones (même entendu dans la bouche de commentateurs de radio ou de TV!), il relève surtout l’inculture de ceux qui pratiquent cette ineptie de langage…

     Fin de leçon.

     

     

     


    votre commentaire
  •  L’arrivée surprise
    de deux jeunes joueurs, Kneubühler (19 ans) et Roberts (17 ans), alignés par Lausanne HC, vainqueur de Kloten au Schlufweg (Swiss Arena), interroge les supporters de Malley et confirme que les espoirs d’un club doivent être mis en valeur avec davantage d’audace.
    A Lausanne,
    les étrangers marquent peu de but et il y en même un, le Finlandais Ossi Louhivaara, qui vient de jouer 16 matches sans marquer le moindre but. L’entrée en scène, non planifiée, de Kneubühler, qui a disputé son premier match en LNA et inscrit son premier but lors de son premier tir en direction de la cage adverse, devrait faire réfléchir les coaches et pas seulement ceux de Lausanne. Ceux-ci sont souvent frileux à l’idée d’inscrire un junior sur la feuille de match.
    On ne m’enlèvera pas
    de la tête que cette pratique devrait être élargie. Les clubs disposant d’un budget dépassant les 10 millions ne sont pas assez conscients des richesses contenues dans leur réserve juvéniles. Certains de ces gamins perdent patience, changent de club ou de sport et c’est bien dommage.
    Dans la capitale vaudoise
    ,
    il avait bien fallu lancer un jour Dubi, Friedrich, Roccati, Monnier, Chapuisat ou «Lulu» Favre, pour faire éclater leurs talents, canne en mains ou balle au pied…

     

     

     

     

     


    votre commentaire